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Cela fait un an jour pour jour que plus de 200 lycéennes nigérianes ont été enlevées par Boko Haram. Un an que Valérie Trierweiler se bat pour qu'on ne les oublie pas.

En un an sa ténacité n’a pas faibli. Douze mois jour pour jour après que plus de 200 lycéennes nigérianes ont été enlevées par la secte Boko Haram au nord-est du Nigeria, Valérie Trierweiler continue de mener son combat pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli. L’ex-Première dame s’est d’ailleurs, une fois encore, servi de son compte Twitter pour relayer l’évènement prévu à cette occasion ce mardi. "A Paris, à 13 heures sur le Champ de Mars. Et partout dans le monde pour Bring Back Our Girls", a-t-elle posté.

"Monsieur le président (…) nous comptons sur vous"

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Sous ce slogan anglais signifiant littéralement "Rendez-nous nos filles" et à l’instar de milliers d’autres personnes à travers le monde, Valérie Trierweiler espère non seulement sensibiliser les auteurs de ce rapt à grande échelle mais également les autorités. La semaine dernière, elle n’a d’ailleurs pas hésité à s’en prendre au gouvernement, lui reprochant notamment de n’avoir pas tenu sa promesse de les libérer.  "Jeunes filles nigérianes. F. Hollande avait annoncé leur libération, des médias évoquent leur mort", a-t-elle tweeté après avoir découvert un article du quotidien nigérian This Day citant des rapports de l’ONU et faisant état du décès de plusieurs jeunes femmes dans le nord du pays. Gardant cependant espoir, l’ex-compagne de François l’a ensuite de nouveau appelé à agir : "Monsieur le président de la République, nous comptons sur vous". En juillet dernier, Valérie Trierweiler avait même été jusqu’à aller au défilé Dior avec un T-shirt demandant la libération des lycéennes.

Plus récemment, la journaliste pour Paris Match a également réalisé l’interview d’Huguette Chomski-Magnis, la présidente du Mouvement pour la paix et contre le terrorisme et coordinatrice du Collectif contre le terrorisme. Ce qu’elle n’a pas non plus manqué de relayer sur Twitter.