Coupe du monde au Brésil : un "bordel" à moins de 500 mètres de l'hôtel des Bleus© FootExpress / Twitter
Lors d'une conférence de presse suivant l'annonce de la sélection officielle des joueurs de l'équipe de France de football qui participeront à la Coupe du monde au Brésil dans un mois, un journaliste a questionné Didier Deschamps sur la présence d'un bordel à 500 mètres de l'hôtel des Bleus. Tous les détails avec Planet.fr.

Dure semaine pour Didier Deschamps... Après l'annonce de sa sélection de joueurs pour la Coupe du monde au Brésil le mois prochain, le sélectionneur de l'Equipe de France a dû subir la colère d'Anara Atanes, la compagne de Samir Nasri non retenu pour participer à l'évènement. Mais il a aussi dû subir les questions des journalistes, dont l'une quelque peu embarrassante...

En effet, lors d'une conférence de presse, la question de la sexualité des joueurs pendant le mondial a été posée. Lorsqu'on lui a demandé s'ils auraient le droit à des relations sexuelles avec leur compagne, alors que l'équipe de Bosnie en sera interdite, il a répondu : "Tout dépend quand, comment, combien. Je ne suis pas médecin, je ne sais pas si c'est bon ou pas".

"Vous pouvez avoir des dossiers sur les joueurs, mais j'en ai aussi sur vous"Il a ensuite expliqué ne pas vouloir les voir "coupés du monde extérieur". Un journaliste du Monde lui a ensuite demandé s'il savait qu'il y avait "un bordel à 500 mètres de l'hôtel des Bleus à Ribeirao Preto", situé à 340 km de Salo Paulo. Didier Deschamps a avoué spon ignorance, et a plaisanté sur le fait que le journaliste paraissant "mieux renseigné" que lui.

Le sélectionneur a également ajouté : "C'est bizarre, parce que vous fréquentez les mêmes endroits que les joueurs. Quand on va jouer en Ukraine [Euro 2012, ndlr], je sais aussi que les soirées des journalistes sont très animées. Curieusement, vous allez dans les mêmes endroits, mais ça se sait moins. Souvent, j'arrive à le savoir quand même. Au cas où. Parce que vous pouvez avoir des dossiers sur les joueurs, mais j'en ai aussi sur vous. Après, chacun fait ce qu'il veut"...