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Valérie Trierweiler était l'invitée de RTL ce jeudi. La Première dame s'est exprimée sur la lutte qu'elle mène sur le sort des femmes violées pendant les conflits. L'occasion également pour revenir sur la santé du président. 

Invitée au micro de RTL ce jeudi, Valérie Trierweiler a parlé de sa réunion qu’elle organise en marge du sommet de l’Elysée en faveur des femmes violées dans les pays en conflit. Elle a déclaré vouloir "être utile". La Première dame est également revenue sur la santé de son compagnon, secrètement opéré de la prostate en 2011.

"Quand j'ai dit que je me tairai, je parlais uniquement des causes humanitaires", a expliqué Valérie Trierwieler. La Première dame souhaite mener une lutte sur le sort des femmes qui sont victimes de viols pendant les conflits. Elle organise ainsi une réunion ce vendredi en marge du sommet de l’Elysée, où elle a invité 25 Premières dames.

"Nous écouterons des femmes victimes de viols pendant des conflits, notamment une dame venue spécialement de Centrafrique pour nous raconter ce qu'elle a enduré là-bas", a précisé la compagne du président.

"Je veux être utile et rien d'autre"

Valérie Trierweiler n’a pas souhaité se prononcer sur l’action militaire immédiate lancée en Centrafrique par François Hollande. "Ce n'est pas à moi de m'exprimer là-dessus. Ce n'est pas mon rôle", a-t-elle affirmé.

La Première dame explique également ne pas être "dans une démarche de conquête" des Français. "Tant mieux si cela marche mieux dans l'opinion" mais "je ne suis pas là pour vendre quoi que ce soit", a-t-elle assuré avant d’ajouter : "je veux être utile et rien d'autre".

"Le président va bien, même très bien"

France Info a révélé ce mercredi que François Hollande s’était fait opérer de la prostate en 2011. Une occasion pour Valérie Trierweiler de revenir sur le sujet. Elle a affirmé que l’opération du président était "sans conséquence".

"Le président va bien, même très bien", "on n'arrive pas à suivre son rythme, on court derrière lui", a ajouté la Première dame. Rappelant tout de même que l’hypertrophie bénigne de la prostate de François Hollande en 2011 "lui appartient", elle a ainsi précisé qu’"il n'était même pas candidat".