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Plusieurs responsables socialistes ont récemment fait savoir qu'ils s'opposaient à ce que le gouvernement mette en place de nouveaux impôts. Selon eux, il y en a déjà eu assez. Découvrez qui en fait partie.
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Bruno Le Roux : "Il n’y aura pas de nouveaux impôts supplémentaires"

© abacapress© abacapress© abacapress© abacapress© abacapressLe président du groupe socialiste à l’Assemblée, Bruno Le Roux a assuré que la remise en question de la fiscalisation des heures supplémentaires n’est pas à l’ordre du jour actuellement. "Il nous faut aujourd’hui de la stabilité fiscale, et il n’y aura pas de nouveaux impôts supplémenataires", a-t-il en effet déclaré jeudi au micro de RTL avant d’ajouter : "C’est à l’Etat aujourd’hui d’aller vers la réduction des déficits en faisant en sorte que son train de vie soit diminué en prenant de bonnes décisions". Et le député de Seine-Saint-Denis n’est pas le seul responsable de la majorité a partagé cette opinion.Aperçu  en images.

Pierre Moscovici se dit "sensible à ce ras-le-bol fiscal" des Français

© abacapress© abacapress© abacapress© abacapress© abacapressMercredi au micro de France Inter, Pierre Moscovici, le ministre de l’Economie a indiqué qu’il était "sensible à ce ras-le-bol fiscal" des Français qu’il ressent "de la part de nos concitoyens, qu’ils soient des ménages, des consommateurs ou qu’ils soient des entreprises".

Julien Dray : "Trop d’impôt tue l’impôt"

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Le 12 août dernier, le vice-président du Conseil régional d’Ile-de-France  déclarait au Parisien: "Fiscalement, n’en rajoutons pas, sinon à force, trop d’impôt tue l’impôt. Les socialistes ont d’autres armes que la fiscalité".

Ségolène Royal : "Il faut stopper la dynamique de hausse des impôts"

© abacapress© abacapress© abacapress© abacapress© abacapressInterrogée jeudi par BFM TV, la présidente de la région Poitou-Charente a évoqué une "overdose fiscale". Elle a par ailleurs rappelé : "cela fait longtemps que je dis qu’il faut stopper la dynamique de hausse des impôts".

Laurent Fabius : "Il faut être très prudent"

© abacapress© abacapress© abacapress© abacapress© abacapressSur  le plateau de BFM TV, le ministre des Affaires étrangères a appelé à la prudence. Selon lui, il convient de "faire attention parce qu’il y a un niveau au-delà duquel on ne doit pas monter".