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C'est ce qu'on appelle un lapsus. Chantal Jouanno a malencontreusement rebaptisé Jean-Louis Borloo « Jean-Louis Bordeaux ». Un petit accident de langage dont le chef centriste a déjà fait les frais à de nombreuses reprises.

© abacapressSa langue a fourché comme on dit. Invitée de France 3 samedi 16 février, Chantal Jouanno a fait ce qu’on appelle un petit lapsus. Venue discuter des élections municipales prévues en 2014, l’ancienne ministre a mis les choses au clair concernant une éventuelle candidature à la mairie de Paris. « Je ne suis pas candidate à la mairie de Paris » a déclaré la sénatrice UDI, avant de préciser : « Quant à Jean-Louis Bordeaux… euh…  Borloo, il n’a jamais été candidat à la mairie de Paris ».

C’est ce qu’on appelle un lapsus, que certains se plairont à qualifier de révélateur, surtout si l’on en croit sa marionnette des Guignols, qui a tendance à faire passer le chef du parti centriste pour un alcoolique notoire. Quoi qu’il en soit, le coup du « Jean-Louis Bordeaux » n’est pas nouveau. D’autres personnalités ont-elles aussi eu la langue qui fourche. C’est le cas de Nicolas Sarkozy par exemple, en visite à Valencienne avec l’intéressé avec mars 2012, et qui répond à la question d’un journaliste par « Vous savez Jean-Louis Bordeaux… » avant de se rattraper. La journaliste Elise Lucet, Jean-Pierre Elkabbach  ou encore Alain Juppé ont eux aussi gaffé. Un lapsus qui commence à tourner au running gag…