Après un hiver et un printemps doux avec des températures au-dessus des normales de saison, à quoi faut-il s’attendre pour les prochains mois ? La Chaine Météo vient de dévoiler son scénario principal pour...
« La destruction de preuve doit inclure le fait d'obtenir ou de faciliter, ou de contraindre, ou d'obliger une tierce personne à avorter d'un foetus résultant d'une pénétration sexuelle criminelle ou d'un inceste avec l'intention de détruire la preuve du crime » indique le projet de loi, dont l’AFP s’est procuré une copie. La victime ainsi transformée en criminelle risquerait trois ans de prison et une amende.
Ce texte a aussitôt soulevé un vent de protestation parmi les associations de défense des droits civils. « En plus d'être résolument anticonstitutionnel, le projet de loi va convertir les victimes de viol et d'inceste (...) en criminelles, et les obliger à se transformer en incubatrices de preuves pour l'Etat » s’est indigné l’un d’entre eux, le Progress Now New Mexico, dans un communiqué. Avec un parlement à majorité démocrate, le projet de loi n’a a priori que peu de chances de passer.