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Alors que le couple Hollande-Trierweiller est actuellement en visite à Alger pour les cinquante ans de l'indépendance de l'Algérie, la Première dame s'est prêtée au jeu des questions dans une école de la ville. Florilège de ses réponses.
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Un jeu risqué. S’il est d’usage de dire que la vérité sort de la bouche des enfants, ces derniers sont également doués pour poser les questions qu’ils se posent de manière spontanée. Valérie Trierweiler en a, semble-t-il, quelque peu fait les frais. En marge de la visite de François Hollande à Alger, la Première dame a en effet accepté de répondre aux interrogations des élèves de l’école Alexandre Dumas à Alger. Découvrez les meilleurs extraits de cette interview originale.


Elle n’est pas tombée amoureuse d’un président

A la question de savoir "ce que cela fait d’être la compagne du président de la République française", Valérie Trierweiler a expliqué : "Je suis la compagne de François Hollande avant d’être celle du président. C’est de l’homme (que) je suis tombée amoureuse, pas d’un président".


Première dame, un rôle "qui fait peur"

Concernant le rôle de Première dame, Valérie Trierweiler a déclaré que c’était quelque chose de "compliqué" et de "non défini", mais qu’elle pouvait néanmoins "en faire ce qu’elle veut".  La compagne de François Hollande  a par ailleurs confié : "au début ça fait très peur, parce qu’on ne sait pas très bien ce qu’il faut faire. Puis, ensuite, on apprend, un peu comme vous à l’école". Et d’ajouter : "Les avantages, c’est d’être là, par exemple, aujourd’hui.  De pouvoir voyager et de pouvoir rencontrer beaucoup de gens de toutes sortes".


Forte d’avoir relevé ce défi, Valérie Trierweiler s’est ensuite laissée à quelques traits d’humour. A l’issue de sa table ronde avec les écoliers algérois, elle en effet ironisé en leur assurant que leurs questions étaient plus difficiles que celles de vrais journalistes.