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Dimanche soir, Ségolène Royal était l'invitée du Grand Jury (RTL-LCI- Le Figaro). Elle a une fois de plus fait comprendre que le gouvernement de Jean-Marc Ayrault devait agir, et vite.

© abacapressSégolène Royal, qui est actuellement en pleine promotion de son livre, Cette belle idée du courage dont elle a annoncé la parution sur son compte Facebook, fait le tour des plateaux télévisés et des émissions de radio. Dimanche, elle était l’invitée du Grand Jury (RTL-LCI-Le Figaro). Elle a profité de cette prise d’antenne pour donner, une fois de plus, son avis sur la première année de quinquennat du président François Hollande et du gouvernement de Jean-Marc Ayrault.

La présidente du Conseil régional de Poitou-Charentes a tout d’abord affirmé un principe de base, valable en politique comme dans n’importe quel domaine : "on peut toujours s'améliorer." Pas de prise de position jusque-là, mais elle devient ensuite un peu plus critique et demande "est-ce que je serais crédible si je disais que tout allait bien ?" Pour celle qui a longtemps partagé la vie du chef de l’Etat, "beaucoup de choses restent à faire." Et ce, rapidement, pour Ségolène Royal. "Les Français veulent comprendre les raisons de la crise et quel est leur rôle" estime-t-elle. Mais attention, elle ne veut en aucun cas distribuer "les bons ou les mauvais points aux dirigeants actuels." Elle a même refusé de commenter la conférence de presse donnée mardi dernier par le président François Hollande. Pour Ségolène Royal, trois domaines sont à améliorer au plus vite : "la bataille globale pour l'emploi",  "la relance de l'activité économique" et "la mutation écologique."