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Découvrez ou redécouvrez cinq anecdotes sur Nadine Morano, l'ancienne ministre sous Nicolas Sarkozy, aujourd'hui eurodéputée Les Républicains et qui se revendique comme étant une Gaulliste.
Sommaire

1/ Elle est grand-mère

Née à Nancy en 1963, Nadine Morano a eu trois enfants avec son ex-mari, Angelo Morano : Raphaël, Grégoire et Eléonore. Aujourd’hui, elle est même grand-mère d’un petit Arthur. "C’est une émotion magique. Un bonheur différent d’avoir son propre enfant, mais aussi puissant ! Quand je regarde mon fils avec Arthur, je me dis qu’un jour je serai peut-être arrière-grand-mère et ça me remplit de joie", a-t-elle confié à Closer en 2013.

Au cours de cet entretien, l’ancienne ministre a également reconnu qu’il n’avait toujours été facile pour elle de concilier sa carrière et sa vie de famille. Heureusement, elle a pu compter sur l’aide de sa maman, Monique, pour garder ses enfants. A propos de ces derniers, Nadine Morano admet par ailleurs qu’ils "en ont pâti (…) Difficile d'avoir une maman exposée dans les médias et, ensuite, d'aller à l'école avec certains professeurs engagés et militants". Et celle-ci d’ajouter : "mais je suis sensible à leur solidarité sans faille à mon égard. Dans les épreuves, nous faisons bloc. Leur amour et leur soutien me sont indispensables pour faire de la politique".

2/ Son véritable nom de jeune fille

Avant d’épouser son ex-mari, Nadine Morano s’appelait Nadine Pugelle. Mais ce patronyme n’était pas celui que portait son père enfant. En effet, en 1975, la famille Pucelle a obtenu de faire changer son nom pour Pugelle. On vous laisse imaginer les raisons qui l’ont poussée à demander ce changement.

3/ Elle a souffert du traitement que lui ont réservé les "Guignols de l’Info"

A l’instar de beaucoup d’autres politiques, Nadine Morano a eu droit à sa marionnette dans les "Guignols de l’Info" sur Canal+. Un "privilège" dont elle a souffert. "J'ai rêvé d'être députée de la Nation, pas d'avoir une marionnette aux guignols de l'info qu'il faut malheureusement subir...", a-t-elle confié à Closer il y a deux ans. Et l’eurodéputée d’ajouter : "Notamment parce que je suis issue d'un milieu modeste. Ils me le font payer et me raillent parce que mon père était routier. Ils ont tort : il avait beaucoup de classe et d'éducation, il ne m'a pas transmis cette vulgarité qu'ils essaient de me coller".

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Récemment, Nadine Morano s’en est même pris au programme de la chaîne pour dénoncer une caricature qui avait été faite d’elle. En cause : un sketch parodiant la bande-annonce du film Lucy de Luc Besson et dans lequel elle était représentée comme "utilisant moins de 1% de ses capacités cérébrales".

4/ Son père handicapé a vécu 11 ans chez elle

Alors que son père était lourdement handicapé après avoir été victime d’un AVC, Nadine Morano a décidé de l’accueillir chez elle. Pendant onze ans et jusqu’à son décès, Michel Pucelle a donc vécu chez sa fille avec ses petits-enfants. "La maladie a transformé notre existence, mais je crois qu’on ne s’est jamais donné autant d’amour. Ceux qui ont vécu cela savent de quoi je parle, c’est une épreuve difficile pour les aidants et ça demande beaucoup de sacrifices", a raconté l’ex-membre du gouvernement au magazine people.

5 / Elle admire Carla Bruni-Sarkozy

Nadine Morano a beaucoup d’estime pour Carla Bruni-Sarkozy. Au-delà du fait qu’elle est l’épouse de l’ancien président de la République et actuel patron du parti d’opposition, l’ex-ministre lui reconnaît une certaine élégance qui a su faire rayonner la France lorsqu’elle était Première dame. A l’étranger, elle "garde cette image, non seulement d’épouse, mais aussi de distinction et de générosité", a-t-elle affirmé. Et celle-ci de souligner le contraste avec Valérie Trierweiler : "Elle s’est donné l’image d’une femme jalouse et revancharde".