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Ce qu'il pense du président "normal", son meilleur souvenir à l'Elysée... Découvrez une sélection des meilleurs extraits de l'interview exclusive de Louis Sarkozy à Paris Match.
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Comment il a essayé de cacher qu’il était le fils de Nicolas Sarkozy

© AFP

"Je me faisais appeler Louis Adams, car je ne voulais pas que mes camarades sachent qui était mon père". Mais quand les autres élèves de son école militaire américaine ont découvert qu’il était le fils de Nicolas Sarkozy, ils se sont dit qu’il était "né avec une cuillère en argent dans la bouche". Du coup, "pendant 3 jours, j’ai dû littéralement porter une vraie cuillère en argent dans la bouche, matin, midi, et soir, même la nuit !", a raconté Louis Sarkozy au cours d'un entretien exclusif accordé à Paris Match.

Découvrez un extrait de cette interview en vidéo dans notre zapping actu : 

Ce qu’il pense du président "normal"

"Pour moi quelqu’un qui est élu président n’est pas normal. C’est tout. Si tout le monde pouvait devenir président c’est que l’office du président ne serait pas si élevée". Pour être président, "il faut des épaules, il faut un caractère… C’est réservé à très peu de gens".

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Comment il a vécu la notoriété de son père

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"J’étais beaucoup plus jeune donc je n’ai pas énormément de souvenirs de cette époque. Mais je me souviens que c’était difficile. Il y avait beaucoup de questions, surtout à l’école parce que c’était ma seule exposition au monde externe. Je ne sortais pas beaucoup. J’avais toujours un officier de sécurité avec moi. On m’a beaucoup protégé, surtout mes parents (…) Mais j’ai jamais vraiment souffert de ça, pour être tout à fait honnête".  

Son meilleur souvenir de vacances à l’Elysée

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Avec son "meilleur ami Geoffrey" : à cause du décalage horaire, "souvent au milieu de la nuit à deux-trois heures du matin, on s’habillait en militaires, même avant l’école militaire, et on faisait des excussions dans les jardins. J’avais une petite cabane dans les jardins (…) J’adorais ces moments-là !".

Ses intentions pour 2017

"J’irai en France ou au Consultat français aux Etats-Unis. Je voterai plutôt à droite, peut-être par disposition familiale, mais surtout car je me reconnais plus dans ces valeurs".

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