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Nadine Morano tenait jeudi soir un meeting dans la ville de Robert Ménard. L'occasion pour elle de revenir sur ses récents propos polémiques et de réaffirmer ses positions.

Lors d'un meeting qu'elle tenait jeudi soir à Béziers (Hérault), Nadine Morano en a remis une couche sur les récentes polémiques dont elle fait l’objet. Celle-ci a d’abord tenu à réaffirmer ses propos sur la race blanche. "Je le dis clairement : la France est un pays de race blanche aux racines chrétiennes, comme le disait de Gaulle", a-t-elle déclaré avant de s’en prendre à ses détracteurs. "S'il n'y a pas de race, il faut donc supprimer les subventions aux associations antiracistes", a lancé l’ancienne ministre de l'Apprentissage.

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Une déclaration qui a vivement fait réagir les internautes. Si certains se sont contentés de moquer l’eurodéputée, d’autres l'ont interpellée afin de marquer leur désaccord.

"François Hollande ne parle avec personne. Nous ne sommes plus respectés"

Mais Nadine Morano ne s’est pas arrêtée là. Elle est ensuite revenue sur l’arrivée massive de migrants en Europe. Pour elle, cette immigration relève du choc des civilisations qui est "en train d’arriver en France".  "La seule solution, c'est une intervention en Syrie. François Hollande ne parle avec personne. Nous ne sommes plus respectés", a-t-elle également affirmé, tout en critiquant les dirigeants européens qui, selon elle, font preuve d’une "fausse générosité".

Par ailleurs, L'eurodéputée n'a pas tenu à rencontrer Robert Ménard, le maire de Béziers et proche de Marine Le Pen, affirmant que ce dernier restait "un adversaire politique".

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