Salaire exorbitant, auberge branchée… Ce que l’on sait de la fortune de GarouAFP
Le chanteur québécois a, depuis longtemps déjà, séduit le cœur des Français. Une réussite qui lui a permis de se constituer un patrimoine empreint de luxe et d'allers-retours entre la France et le Canada que beaucoup pourraient lui envier.

Fortune de Garou : un salaire qui a du coffre

Révélé au grand public dans la comédie musicale Notre-Dame de Paris, Garou est, certes, connu pour son talent de chanteur et sa carrière musicale sans fausse note (tout du moins commercialement parlant). Mais Garou – Pierre Garand de son vrai nom – a surtout eu le privilège de vendre, depuis ses débuts, des millions d’albums et d’enchaîner les tournées partout dans le monde.

Parallèlement à cela, il est apparu comme une figure emblématique de l’émission The Voice diffusée sur TF1 durant quatre saisons. Un rôle (de composition ?) qu’il a parfaitement su endosser. Et pour cause, son salaire annuel pour coacher les talents y participant s’élevait à 450 000 euros par saison.

Fortune de Garou : des investissements gagnants ?

Chanteur, animateur (il a récemment, et pour la troisième année consécutive, co-présenté la fête de la musique) et même acteur à ses heures perdues…Garou fait figure de véritable touche-à-tout. Il va même jusqu’à se frotter à des nouvelles activités professionnelles bien loin de son univers musical.

Lorsqu’il ne se repose pas chez lui (dans son appartement de Montréal situé au bord du fleuve Saint-Laurent), Garou joue les aubergistes de luxe. Il s’affaire dans son auberge emprunte d’Histoire et de modernité répondant au nom d’Auberge Saint-Garbiel. Un restaurant devenu, au fil des ans, un haut lieu des soirées à Montréal. Il s’agit là, tel que le précise Le Parisien, d’un endroit rustique construit en 1754 et qui fait aujourd’hui figure de club branché en sous-sol et au sein duquel s’organisent de nombreux évènements médiatiques. Une bâtisse qu’il a achetée en 2003 après avoir, concède-t-il, déjà investi dans d’autres restaurants, mais surtout "beaucoup fait la fête".