Audrey Pulvar a les nerfs. La faute à VSD qui publie un article sur la journaliste, dont le contenu n'est guère à son goût, et elle ne se prive pas pour le faire savoir.

Audrey Pulvar commence l’année 2013 bien énervée. Un article publié dans le magazine VSD et intitulé Audrey Pulvar, des hauts et des bas, a en effet provoqué la colère de la journaliste. « Cet article est un tissu de bêtises et de contre-vérités » s’est-elle exclamée en exclusivité sur le site de Jean-Marc Morandini. Il faut dire que l’article démarre en fanfare : « Plus de mec, plus de boulot (ou presque), la journaliste « démissionnée » des Inrocks a terminé l'année en miettes. Heureusement, 2012, c'est fini ! ».

Après avoir qualifiée Audrey Pulvar de « chômeuse de luxe », l’article évoque également son départ de France Inter. « L'article affirme, par exemple, que je suis partie furieuse de France Inter en crachant sur la radio publique. Or, cela est totalement faux » s’énerve la chroniqueuse du Grand 8. Au printemps dernier, après la nomination de son ex-compagnon, Arnaud Montebourg, comme ministre du Redressement productif, Audrey Pulvar s’était en effet vue écartée de l’antenne de France Inter, où elle assurait l’interview politique de 7h50. Peu de temps après, elle était également écartée de France 2 et de l’émission On n’est pas couché. Elle avait alors déclaré dans Libération avoir l’impression « d’être prise pour une conne ».

Mais VSD revient aussi sur son départ des Inrockuptibles. « Dans la légende de la photo, il est écrit que j'ai tweeté après mon départ des Inrocks : « Je vais faire augmenter les stats hallucinantes de la France... Team pôle emploi ». Or c'est un tweet qui a été écrit à partir du compte parodique @audrey_Pulvar , un compte qui a été signalé plusieurs fois comme n'étant pas mon compte officiel, et il est surréaliste que des journalistes puissent prendre ça au sérieux, sans se rendre compte que ce compte est un fake. Bravo, le professionnalisme ! » a déploré Audrey Pulvar. Bref, on l’aura compris, 2013 commence sur les chapeaux de roues.